vendredi 20 septembre 2013

Donne moi la main, et prends la mienne...

Ahlala, Françoise Hardy, nostalgie, nostalgie...
Pour les nostalgiques aux yeux embués, voici quelques poignées de main dans l'actualité.


François Fillon déclare hier en rencontrant Poutine qu'il le préfère à Obama ou en tous cas que la France de François est trop proche des américains. Sa ligne politique semble un peu nébuleuse. Je n'ai pas bien compris, mais le timing est parfait ! Entre atlantisme, gaullisme, européanisme et fillonisme, on s'y perd.

Une vieille poignée de mains pour se rappeler le bon temps, mais évidemment beaucoup de liquide a coulé sous les ponts (détruits) depuis.


Autre temps, autre style, mais les mains sont toujours là et Poutine toujours au centre de l'attention et des attentions de ses visiteurs, ce qui est normal me diez-vous




Pas de poignée de mains ici ? Mais si, mais si, regardez bien, on distingue bien Fillon assis sous Depardieu et agitant les mains. Vous ne voyez pas ? Comme c'est étrange... J'aurais cru pourtant.
Pendant ce temps évidemment, François joue au traître à la Nation avec Obama,


Alors que Obama joue au traître avec Poutine,

Et François avec Poutine,








Tout ça est-il clair ?









Heureusement les allemands sont là pour nous éclairer à deux jours de leurs élections, avec ces deux photos devenus icônes



En conclusion, les poignées de main en politique ne veulent pas dire grand chose, sauf quand elles sont refusées, mais la gestuelle des mains est importante et trahit souvent leurs propriétaires.  Comme le beau temps semble revenir sur Paris, c'est le moment de prendre la main de votre être cher et d'aller se promener avec.Histoire de redonner du sens à vos mains à vous.

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