dimanche 5 juillet 2015

Du temps de cerveau pour... le 5 juillet

C’est vrai c’est le 5 juillet aujourd’hui. Ou plutôt c’était puisque ce billet est posté à presque minuit. Ecrire un billet par jour cela veut dire chaque jour avant minuit !

Mais il ne s’agit pas de dire n’importe quoi juste pour le plaisir de remplir une page blanche au risque de te lasser, lecteur, ô mon lecteur (ma lectrice aussi). Pas envie de parler de foot, de guignols, de drachmes ou de bicyclette aux hormones.

Alors aujourd’hui, pas de nouvelle - pas eu le temps - mais juste pour vous dire qu’une de mes nouvelles va être publiée par un vrai éditeur. Pas de temps de cerveau fouillé sur un sujet scientifique non plus - pas eu le courage.

Pourtant, croyez-moi, aujourd’hui a été un jour exceptionnellement riche en émotions, à titre privé, avec un bilan positif. C’est donc l’espoir chevillé au corps que je vous souhaite une bonne nuit. Finalement, vous n’avez pas besoin de savoir de quoi je parle - cela ne vous regarde pas d’ailleurs sauf si on se connait, et Dieu reconnaîtra les siens et moi les miens - vous n’avez donc pas besoin de savoir de quoi je parle du moment que le message est là : il faut toujours garder espoir et se battre et profiter des moments quand ils se présentent. Dans la confiance, l’amour et la volonté de vivre.

Carpe Diem. A demain, qui est un autre jour.

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